Mouvements doux, respirations controlées et intentions mentales

précises et personnalisées.

Les exercices physiques sont accessibles à tous et automatiquement adaptés aux capacités physiques ou mentales pouvant être altérées.

C’est en 1960 que le Docteur en neuro-psychiatrie Alfonso Caycedo, de l’hôpital de Madrid, créer la méthode fondamentale. Elle a pour but initial d’améliorer la qualité de vie des patients et de les soulager des conséquences de leurs traitements médicaux souvent brutaux.

Ses influences sont multiples, on peut citer notamment l’hypnose, la neurologie, la psychanalyse, la relaxation psycho-sensorielle, l’autosuggestion positive, la relaxation progressive, le training autogène, les thérapies brèves ou encore la phénoménologie, mais aussi le yoga, le bouddhisme tibétain et le zen japonais.



La sophrologie se structure dès les années 1970.
Étant reconnue comme méthode thérapeutique, elle est pratiquée internationalement par une partie du corps médical.

En 1982, la méthode devient sociale à la suite de son expérimentation en Colombie auprès d’enfants et de personnes âgées non malades. Elle est alors reconnue comme méthode de développement personnel.

Entre le milieu des années 1970 à la fin des années 1980,
Dr. Caycédo se positionne davantage comme porteur d’une idéologie et ajoute à sa méthode fondamentale la notion de « valeurs existentielles de l’être » en induisant les valeurs à suivre.

Il crée de ce fait une scission entre les praticiens : ceux d’un côté, partisans de cette nouvelle notion idéologique et ceux de l’autre, refusant d’induire ces valeurs à leurs clientèles/patientèles.

Il dépose alors la marque de Sophrologie Caycédienne®, se distinguant de la sophrologie originelle, et permet ainsi aux praticiens non adhérants de continuer de proposer la pratique de la méthode sans quelconque déclaration de valeurs ou d’idéologie à suivre.

De nos jours, cette distinction est toujours existante et estexplicite par chaque école/ centre de formation, elle est aussi par conséquent explicite par chaque praticien proposant ces services.

C’est en 2004 qu’un référentiel où toutes les activités du sophrologue sont répertoriées, permettant ainsi la reconnaissance officielle du métier par l’inscription de son certificat professionnel dans le répertoire national de la certification professionnelle (RNCP). L’état reconnaît alors le niveau de qualification du sophrologue possédant le titre malgré la non-réglementation de la profession.